Il résulte évidemment de cette observation, que ni l’air fixe, ni la partie spiritueuse ne
sont formés aux dépens du sucre seul, puisqu’un corps ne peut donner un résultat
plus pesant qu’il ne l’est lui-même, et que l’eau, par conséquent, y contribue pour une
portion très-notable.
Je ne donne ici qu’un résumé très-succinct de mes expériences sur la fermentation
spiritueuse, parce qu’elles ne sont point encore complètes, et que d’ailleurs elles
doivent faire le sujet d’un mémoire particulier, uniquement dirigé vers cet objet.
|