d’argent ne présente pas, il est vrai, les brillantes spéculations de l’agiotage ou du jeu
des effets publics, mais il n’est pas accompagné des mêmes risques et des mêmes
revers ; les succès qu’on obtient n’arrachent de larmes à personne ; ils sont, au
contraire, accompagnés des bénédictions du pauvre. Un riche propriétaire ne peut
faire valoir sa ferme et l’améliorer, sans répandre autour de lui l’aisance et le
bonheur ; une végétation riche et abondante, une population nombreuse, l’image de la
prospérité, sont la récompense de ses soins.
FIN DU TOME SECOND.
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